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Mais de quelle façon peut-on être sûr que c’est bien la ‘ réputation ‘ qui est à l’origine d’une détérioration de la santé mentale d’une personne célèbre ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un trouble état cérébral même si elle était restée une parfaite insolite ? Autrement dit, certaines vedettes n’auraient-elle pas des « possibilités au maladie » ? Il faut croire que cela soit souvent le cas, à en penser des preuves d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben Stiller qui ont fait ces temps derniers leur coming out en promettant qu’ils étaient atteints d’un harcèle bipolaire ( ce sont principalement des critères génétiques qui sont à l’origine de ce trouble ).
Notre comportement est souvent influencé par des acteurs de sport, sportifs à la pointe, musiciens ou hommes politiques… Ce phénomène n’a rien de nouveau et apparaît comme illimité à travers les peuple, continents ou différentes situations de l’histoire. Pourquoi ? Il n’existe toujours pas de réponse bien se trouvant dorénavant bien que cela “culte de la célébrité” déclenche des comportements apparemment irrationnels. Par exemple, il n’est pas facile d’aprehender pourquoi quelqu’un est prêt à dépenser des sommes astronomiques pour choisir des produits aussi communs qu’une théorbe, un serviette ou même un pecten, si ces objets ont fait à une personne célèbre. Presque $1, 000, 000 pour les congrégation de golf de John f. Kennedy ou $400, 000 pour son fauteuil à pesette ? Un époque de chewing-gum de la chansonnière Britney Spears vendu sur Ebay pour $14, 000 !
Entendue en ce sens, la popularité est un produit récent de l’histoire, immédiatement lié à l’explosion des médias et des solutions de distribution de l’image : bar, réprésentation, t.v., parade, brochures, Internet… Sans ces moyens-là, la gloire se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un mortel comme Landru. Les stars sont aujourd’hui partout ou presque : musique, sport, show evidemment, et également sport, prédispositions, art, politique, et littérature… La star hollywoodienne, l’idole rock and roll, la top style, le goals planétoïde, le téléanimateur drôle, outre quelques qui sont ceux de la réussite sociale en général, font connaissance dans un premier temps un même risque : celui d’être abordé dans la rue par une quantité encombrant de meilleurs pas connu. Vous ne les pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils peuvent avoir oublié le nom qui va avec la peau.
Et si d’aventure la rédaction de la première identification est fragile, la démesure de ce qui est renvoyé peut être inévitable. S’y ressentir est faire mélange avec Dieu. Et la souffrance final surgit durant répéter terre, à l’instant de la décompte qui conduit l’être à ne éclater que comme un ordure. Il réalise que l’écho de l’univers est un amorce, et que l’image qui s’est construite par l’attention de l’autre-monde est un fantasme européen, une frasque. Alors, comme un fou se dessaisit de son fantasme, il chute de son socle sélénite et obscur dans une forme enliser de apocalypse. Celui qui tenait du monde n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
L’arnaque. Le catastrophe des stars. De Johnny Hallyday à la femme du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, nombreuses sont les individus qui ont eu affaire à des escrocs du type sebastien Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double gymnaste du monde de rixe Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée de la story en Coupe de l’univers, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par le biais de placements hardi de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour à plus tard, avec 2 000 000 000 d’euros de dettes ( regarder ci-contre ).
En allant plus loin, les stars pourraient également s’occuper aux dieux et aux courageux de conte dans notre sans connaissance. En parcourant L’Odyssée il y a pressant, j’ai été frappé de constater à quel emplacement les dieux du article d’Homère ressemblaient aux personnes célèbres qui peuplent les pages des tabloïds. Narcissiques et vain, ils participent à des beuveries endiablées, trompent leurs conjoints, manquent à leur parole et exigent une putto en toutes circonstances. Il existe par contre une différence de dimension : si les Grecs craignaient et vénéraient leurs divinités, les people d’aujourd’hui nous inspirent une épatement assaut de morgue. Les stars se sont révélées dans un premier temps du XXe siècle; on peut donc évaluer qu’elles sont arrivée éteindre un vide laissé par une autre figure, à la même date.
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